Haute trahison, par Michel Onfray

Haute trahison, par Michel Onfray

Michel Onfray :  Buzyn, sa vie, son œuvre

En publiant un article (le 17.III.2020) sur elle, le journal Le Monde vole au secours d’Agnès Buzyn, ex-ministre de la santé qui a quitté le bunker du commandement général alors que, selon ses propres aveux, la guerre était certaine, qu’elle ferait quantité de morts et qu’elle se disait la seule à le savoir!

Or, les Français ne sont pas débiles: ils savent que ce qui s’écrit dans un journal se discerne bien plutôt entre les lignes que dans ce qui s’y trouve explicitement écrit.

Quelques phrases retiennent donc mon attention dans ce publireportage qui sauve (un peu) la dame et accable (beaucoup) Macron et les siens, comme si elle n’en avait jamais été. D’abord cette entrée en la matière: “Je me demande ce que je vais faire de ma vie.” Ensuite, le plat de résistance: “Je n’ai plus de boulot.” Enfin, le dessert, c’est une interrogation de la journaliste: “Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation?” Pauvre petite fille riche…

Pour lire la suite, c’est ici

 


1 commentaire sur “Haute trahison, par Michel Onfray”

  • 1
    SIVARD le 15 avril 2020 Répondre

    Quelle déchéance !!!
    Pour reprendre un commentaire déjà cité :
    “Chère Madame Buzin, N’est pas Simone Weil qui veut !”

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